>AQUI VAMOS<

un film de Alexandre Fernandez

« Électron libre dans l’urgence du moment, AQUI VAMOS a été filmé en toute liberté, de manière sauvage, expérimentale, totalement libre dans son expression. Non seulement, c'est un film d’auteur indépendant, et sans attache quant à son origine, mais c’est aussi la vision intime d’un ressenti dont le récit, sans narration apparente,  nous emporte dès que l’on s’en approche. On peut donc considérer AQUI VAMOS comme une curiosité esthétique intrigante évoluant dans un monde à part, une zone visionnaire à défendre et à protéger entre tous, en résonance avec notre  actualité pandémique mais aussi celle imperturbable de la violence  policière. C’est un OVNI dans le paysage cinématographique, un véritable « objet volant non identifié ». Dépêche du Tarn

"…À ma naissance, j’avais déjà acquis des forces de résistance qui m'ont nourries toute ma vie, mais je n’ai pu survivre qu’avec l’aide d’autrui; à ceux qui sont déjà morts, à mes parents Anita et Manolo, à ceux qui ne sont pas encore nés, je dédie ce film…" . Alexandre Fernandez

Lecture OZ Aqui Vamos

"Lors de la projection en avant première à Toulouse d'Aqui Vamos au cinéma Le Cratère, lecture du texte qui inspira le film, lu par Stéphanie Fontez, traduit en langue des signes par Florence Houmad et accompagnées à la guitare par Stéphane Barascud compositeur le la musique originale d'Aqui Vamos"

Concert OZ Aqui Vamos

à l'issue de la projection en avant première du film Aqui Vamos à La Boutinerie

« Il est à mon avis certain que tout art est investi par les puissances refoulées d'une enfance… La création artistique est l'exemple le plus accompli de ce qu'est une sublimation des désirs inconscients. C'est la raison pour laquelle le grand art peut être à la fois provoquant, transgressif, et universel. La subjectivité humaine reconnait en lui la force irrésistible des traces cachées des désirs… Il éprouve dans cette reconnaissance un trouble suspect en même temps qu'une admiration rationnelle. C'est ce mélange que nous appelons le sentiment du Beau. » Alain Badiou, Éloge du théâtre, 2013.

"Le divertissement généralisé"

Nous vivons sous le règne de la banalisation par l’effet de la consommation, sous le régime de l’aliénation des individus par l’effet du divertissement généralisé d’une forme d’étourdissement par lequel les individus sont siphonnés. lire la suite